HPI : Le vrai du faux des champions du QI
Les personnes HPI, autrefois dites « surdouées », sont souvent décrites comme hypersensibles, anxieuses ou souffrant de difficultés sociales. Ces idées reçues sont très éloignées de la réalité, d’après les experts. Le haut QI a au contraire un effet protecteur sur l’anxiété et la dépression, et les personnes HPI ne comptent pas plus d’hypersensibles que le reste de la population. Quant aux difficultés sociales ou d’apprentissages, elles sont souvent plutôt attribuables à des troubles associés tels que le trouble de l’attention avec hyperactivité (TDAH), les troubles du spectre de l’autisme (TSA) ou les troubles dys (dyspraxie, dysorthograpgie, dyslexie, etc).